

La gestion des licences, un sujet optionnel ?
Cela fait 20 ans que chez Digora nous vous assistons dans la réalisation de vos projets autour de la donnée. Les projets d’aujourd’hui ne sont plus dictés uniquement par l’arrivée d’une version majeure d’un logiciel, ni par des besoins de performances supplémentaires ou de renouvellement d’infrastructure.
Depuis quelques années, la gestion des actifs logiciels et la maitrise budgétaire imposent aux directions informatiques et achats de nouvelles habitudes. Si vous lisez ces quelques lignes, c’est parce que vous êtes concernés par des difficultés qui se présentent dans la gestion de vos actifs logiciels. Réfléchissons ensemble à quelques-unes d’entre elles.
Les infrastructures sont de plus en plus complexes
Les évolutions technologiques sont de plus en plus nombreuses. D’années en années, de nouvelles solutions sont disponibles. Celles-ci remettent en permanence vos choix en question, même s’ils ont été pris récemment.
Aujourd’hui, quel département informatique n’a pas mis en place la virtualisation, des mécanismes de redondance par baie, un cluster ?
Vos choix technologiques et techniques peuvent avoir un impact sur la gestion de vos actifs. Il faut donc se poser quelques questions :
- Mes licences actuelles, couvrent-elles correctement mon site de repli informatique ?
- Mes licences me permettent-elles de virtualiser un produit Oracle ?
- Les nouvelles fonctionnalités liées au système d’exploitation, au hardware ou à la virtualisation sont-ils compatibles avec le droit d’usage des produits dont ma société a fait l’acquisition ?
Les mutations des structures juridiques
L’acquisition d’une filiale ou la revente d’une usine ou marque peut avoir un impact dans la gestion de vos actifs logiciels.
Si votre société fait l’acquisition d’une nouvelle entité et que vous devez mettre à disposition l’ensemble de votre socle applicatif à de nouveaux utilisateurs, devrez-vous racheter des licences ? La tarification choisie à l’origine sera-t-elle toujours en adéquation avec ce nouveau périmètre ?
Dans une situation contraire, si une société se sépare d’une entité, comment devrez-vous gérer les actifs acquis ? Pourrez-vous changer de tarification ? Sera-t-il nécessaire de faire l’acquisition de licences supplémentaires pour couvrir l’usage de la nouvelle entité ?
La multiplication des circuits de décision et d'acquisition
A l’époque du SAAS et du Cloud, il est de plus en plus courant de voir des départements souscrire à des solutions sans solliciter la direction informatique. Cela complexifie le suivi de vos actifs logiciels, mais aussi la relation commerciale avec les éditeurs. Il est possible que des logiciels en mode SAAS ou Cloud vous mettent en situation de non-conformité.
La vérification de la conformité par l'éditeur
Il y a quelques années, notre pays à l’esprit latin qu’est la France, s’est retrouvé face à la généralisation d’habitudes venant d’outre-Atlantique : les audits de conformités. L’éditeur faisant jouer son droit de vérification de l’usage acquis et l’usage réel. Ce droit est possible car vous avez validé celui-ci en utilisant le logiciel en question.
L’audit tend à se généraliser. Une étude IDC de 2013 précisait que : « 58% des sociétés ont été auditées par Microsoft, 29% par Adobe, 23% par IBM, 21% Oracle, 12% SAP, 8% par Symantec. »
Dans ce contexte, il y a deux grandes tendances :
- Ceux qui réagissent suite à une demande d’audit
Suite à la réception d’un courrier de l’éditeur ou s’ils craignent un audit imminent, ils vont, dans l’urgence, essayer de vérifier la conformité de l’usage de ces logiciels. - Ceux qui anticipent
Ayant eu connaissance du risque d’audit, ils préfèrent anticiper en prenant le temps de comprendre les règles de tarification des différents logiciels. Ils vérifient ou font vérifier l’usage dans le cadre d’un audit préventif. Ils anticipent l’audit en faisant l’acquisition des licences logicielles manquantes sans attendre l’audit de l’éditeur
L’ensemble des collaborateurs de Digora est conscient de la complexité de la gestion des actifs logiciels. C’est pour cette raison que nous nous mobilisons sur ce sujet. L’expérience acquise auprès de nos 450 clients nous permet de vous fournir les réponses les plus pointues à vos questions.
Nous avons vu ensemble quelques raisons démontrant que la gestion des actifs logiciels n’est pas un sujet optionnel. Que ce soit pour une simple question ou pour un accompagnement plus approfondi par notre pôle d’experts, n’hésitez pas à vous rapprocher de nous, à assister à nos webinars et séminaires sur le licencing Oracle.